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Commanderie de SAINT-JACQUES [ETAMPES].

Commanderie de SAINT-JACQUES [ETAMPES]. - Titres concernant la nomination de Pierre DANCE comme commandeur de SAINT-JACQUES D'ETAMPES. Lettre à dom FERDINAND, roi catholique d'ESPAGNE, d'ARAGON et de SICILE, grand-maître de l'ordre de SAINT-JACQUES de l'EPEE, à l'archevêque de SENS et aux frères dudit ordre, pour leur faire connaître la bulle de provision du pape LEON X, datée de juin 1514, et qui envoie Pierre DANCE en possession de la commanderie d'ETAMPES, à la place de Laurent de LA PERRIERE qui a volontairement résigné cette charge, 6 mai 1515. Recueil de copies, faites au XVIIIe siècle, d'actes relatifs à cette nomination [...]. Copie de l'acte ci-dessus. Acte par lequel Daniel PAVIE, prêtre, notaire, déclare avoir, en vertu des précédentes lettres et au nom du SAINT-SIEGE et de l'archevêque de SENS, mis en possession réelle, actuelle et corporelle de la Commanderie de SAINT-JACQUES de l'EPEE, dom Jean GABLE, procureur de noble et docte personne Pierre DANCE. La cérémonie s'est accomplie, 22 août 1515. Lettres patentes de FRANCOIS I, en joignant au bailli d'ETAMPES de mettre Pierre DANCE en possession réelle de la commanderie SAINT-JACQUES de l'EPEE et de toutes ses dépendances, ANGERS, 5 juillet 1518. Copie authentique du vidimus de 1492, mentionné à l'article précédent.

Rentes. - Titres concernant 300 livres de rente dues au Collège d'ETAMPES par l'Hôtel-Dieu de cette ville, à cause de la réunion faite audit Hôtel-Dieu, de la maladrerie de SAINT-LAZARE. Lettres patentes de HENRI III, accordant au Collège d'ETAMPES, sur la demande des maires et échevins de ladite ville, une rente de 300 livres à prendre sur les revenus de la léproserie de SAINT-LAZARE, PARIS, 20 août 1575. Copie authentique de l'acte précédent [s.d.]. Extrait des registres du Parlement, portant enregistrement du même acte le 15 septembre 1576. Arrêt du Grand Conseil rendu à la suite de l'appel interjeté par les maire et échevins de la ville d'ETAMPES contre une sentence de la Chambre de la Charité chrétienne du 11 mars 1609, et ordonnant l'exécution pleine et entière des lettres patentes du Roi du 20 août 1575, par lesquelles il était permis de prendre 300 livres par an sur les revenus de la maladrerie de SAINT-LAZARE pour l'entretien du Collège, 14 décembre 1609 ; copie authentique de l'arrêt de la Chambre de la Charité chrétienne refusant aux maire et échevins d'ETAMPES le droit de prendre 300 livres de rente annuelle sur les revenus de la maladrerie de SAINT-LAZARE, 1609. Copie des lettres patentes de LOUIS XIII ordonnant l'exécution de l'arrêt du Grand Conseil qui autorise à prendre 300 livres chaque année sur les revenus de la maladrerie de SAINT-LAZARE, pour l'entretien du Collège d'ETAMPES, 24 mars 1614 ; autre copie du même acte. Brevet du roi LOUIS XIII qui leur fait don de la maladrerie de SAINT-LAZARE d'ETAMPES, SAINT-GERMAIN-EN-LAYE, 31 janvier 1634. Ordonnance du bailli d'ETAMPES portant que les 300 livres de rente dues par la léproserie de SAINT-LAZARE seront payées aux Barnabites, 14 février 1640. Arrêt de la Chambre souveraine ordonnant le paiement aux Barnabites des 300 livres à prendre sur SAINT-LAZARE et qui n'avaient pas été payées en 1641, 18 septembre 1642. Arrêt du Grand Conseil ordonnant à la suite d'un procès entre Gabriel de MERCENNES, qui jouissait des revenus de SAINT-LAZARE, et les Barnabites d'ETAMPES, de payer à ces derniers les 300 livres de rente qui leur sont dues, 19 avril 1655. Copie d'un arrêt du Conseil privé du Roi reconnaissant au grand aumônier de France, cardinal Antoine BARBERIN, le droit de pourvoir à l'administration de la maladrerie de SAINT-LAZARE d'ETAMPES, droit qui lui était disputé par le duc de VENDOME, auquel le duché d'ETAMPES appartenait, 17 décembre 1655. Copie des comptes de la maladrerie de SAINT-LAZARE rendus à la Chambre générale réformation des hôpitaux et maladreries de France par les religieux de la Congrégation de SAINT-PAUL du Collège d'ETAMPES, 16 avril 1657. Arrêt du Grand Conseil, 17 juillet 1659. Copie authentique d'un arrêt du Conseil privé du Roi qui unit à l'Hôtel-Dieu de la ville d'ETAMPES les biens provenant de la maladrerie de SAINT-LAZARE et le quart du revenu de l'hôpital de SAINT-JACQUES de l'EPEE, les trois autres quarts restant aux Barnabites, 15 avril 1695. Ordonnances de paiement pour les 300 livres sur SAINT-LAZARE et les 300 livres sur les biens patrimoniaux de la ville, 31 janvier 1732.

Commanderie de SAINT-JACQUES [ETAMPES].

ETAMPES. - Censes de l'EPEE (1579 - 1714).

ETAMPES, collège. - Spiritualité et affaires générales de la communauté. Decreta capitorum generalium ab anno 1579 usque ad annum 1662 inclusive ; cum moderationibus additionibusve eorundem ; ordine servato titulorum seu capitum nostrarum constitutionum [imprimé]. De officio proefecti coerimoniarum, et chori, apud ciericos regulares S. Pauli decollati [imprimé]. Bref du pape Innocent X en faveur des Réguliers touchant les confessions de la quinzaine de Pâques, 1645. Extrait de règlements, 1645. Copie authentique, 1646. Ordonnance pour les confessions de Pâques , mars 1651.

Titres concernant la possession de la commanderie hospitalière de SAINT-JACQUES de l'EPEE et les biens en dépendant. - Titres généraux : instructions et mémoires, [s.d.]. Mémoire de quelques titres de SAINT-JACQUES [...], [s.d.]. Inventaire des titres et pièces de la censive de SAINT-JACQUES de l'EPEE, appartenant par indivis aux Révérends Pères Supérieur et religieux Barnabites d'ETAMPES et à l'Hôtel-Dieu de la Ville ; récépissé daté de 1764.

GRIGNY. - Fonds de l'église paroissiale SAINT-ANTOINE : testament de Madeleine JOURNEE, femme de Damien DUPERRET, portant plusieurs legs à l'église de GRIGNY et aux paroisses circonvoisines (14 juillet 1625, 30 novembre 1626). Transaction entre Jean CERTAIN, docteur en théologie, curé de SAINT-ANTOINE et SAINT-SULPICE de GRIGNY, Joachim COULLAUD, vicaire, les paroissiens de GRIGNY et M. DUPUIS, portant cession des droits de la fabrique, pour exécuter les dispositions du testament de Madeleine JOURNEE, en échange de trois pièces de terre, contenant six arpents et demi, à charge de service religieux (27 août 1630). Baux de terres appartenant à la fabrique (1691-1720). Location d'un banc dans la nef de l'église par les marguilliers en charge (31 octobre 1721). Inventaire des titres et papiers de la fabrique : baux, titres nouvels, rentes et charges, une liasse de quatre pièces en papier concernant la fondation de l'école des filles de GRIGNY, fondée par la dame de la Chapelle (1773).

Donations et testaments. - Legs PETAU. Fondation de deux bourses au collège d'ETAMPES. Extrait authentique du testament olographe de Me Jacques PETAU, conseiller du Roi, lieutenant-général civil et criminel au bailliage d'ETAMPES. Codicille de 1629 ; le testament lui-même, du 1er novembre 1626. Sentence de la Chambre des Requêtes portant délivrance aux Pères Barnabites du legs PETAU aux charges et conditions ci-dessus, 18 septembre 1653. Arrêt du Parlement rendu à l'occasion du différend qui s'était élevé entre les Pères Barnabites, appelant de jugements précédents, et Me François PERREAUX, conseiller et maistre d'hostel ordinaire du Roy, président et trésorier général de France en la Généralité de SOISSONS, époux de Jeanne PETAU, et Me Simon COUSTE, secrétaire de la Chambre du Roy et du sieur lieutenant-civil de PARIS, agissant tant pour eux que pour les autres héritiers de M. PETAU. Les charges imposées par le testament aux Barnabites sont réduites ainsi qu'il suit. Sur la somme de 8 000 livres qui leur est léguée, ils prendront 3 000 livres pour agrandir leur église et leurs autres bâtiments ; les 5 000 livres qui resteront seront placées en fonds d'héritages, et le revenu servira à nourrir, entretenir, instruire, en leur maison ou aultres à leurs charges et despens un boursier et non deux, de dire ou faire dire, suivant les intentions de M. PETAU, pour le repos de son âme et de celle de ses parents, 14 mai 1658. Mémoires d'avocats et pièces de procédure relatifs à ce procès.

Titres concernant l'établissement des Barnabites à ETAMPES. Acte d'établissement de septembre 1629. Articles et conventions accordés entre les maires et échevins d'ETAMPES et les Révérends Pères dom Candide POSTCOLONNE et dom Anselme CHARDON. Cession de la maison et collège situés rue Saint-Antoine, 5 septembre 1629. Ratification des articles par le Père Général des Barnabites à MILAN, 21 mars 1631. Pièces diverses concernant les Barnabites : copie de lettres patentes du roi LOUIS XIII de mars 1622, aux termes desquelles il permet aux Barnabites de s'établir tant dans la ville de MONTARGIS que dans les autres villes, bourgs et lieux du Royaume où ils pourront être appelés, d'y faire bâtir des églises, collèges et maisons pour y vivre selon l'ordre de leur instruction, d'accepter les legs, dons et aumônes qui leur seront faits ; copie des lettres du Roi confirmant l'établissement des Barnabites à ETAMPES, 1633 ; supplication des maires et échevins de la ville d'ETAMPES à Mgr le Grand Aumônier de France, pour le prier de donner sa nomination au Roy, nostre sire, des maladrerye SAINT-LAZARE et l'hôpital SAINT-ANTOINE en faveur Barnabites pour obtenir l'homologation du traité entre la ville d'ETAMPES et les Barnabites, 17 mars 1636 ; copie collationnée de l'arrêt de vérification des lettres du Roi donné en Parlement le 9 mai 1636 ; jugement rendu des hôpitaux et maladreries de France confirmatif du délaissement fait par les maire et échevins d'ETAMPES aux Barnabites du revenu de l'hôpital de SAINT-JACQUES de l'EPEE en cette ville, 19 janvier 1638.

Rentes. - Rente de 100 livres sur les deniers de la ville d'ETAMPES. Ordonnance du lieutenant général d'ETAMPES, permettant aux Barnabites de saisir sur les deniers de la ville les sommes qui leur sont dues pour une rente de cent livres, 15 janvier 1642. Acte d'adjudication par les maire et échevins de la ferme du droit de courte-pinte, qui se perçoit sur tous les hosteliers, taverniers, cabaretiers et autres habitants vendants vin par assiette en cette ville et faubourgs d'ETAMPES, 8 mars 1663. Procès avec la ville d'ETAMPES, qui refusait de payer plusieurs années de la rente, sous prétexte que les Barnabites n'y entretenaient plus qu'un seul régent. La ville est condamnée, parce qu'une assemblée des notables avait elle-même, en 1670, autorisé les Barnabites à fournir un régent capable, 1684. Arrêt du Conseil d'Etat réglant en détail l'emploi des revenus de la ville d'ETAMPES, 15 mars 1692.

Affaires générales. - Lettre du Rme P. Provincial, signée Dom J. Augustin GALLICE, Provincial, au Révérend Père Supérieur des religieux de la Congrégation de SAINT-PAUL à ETAMPES, portant permission de tenir dans le collège des pensionnaires en vertu de l'autorisation du Rme P. Général, PARIS, 26 mai 1648. Avertissements donnés aux Barnabites d'ETAMPES lors de la visite faite par les Révérends Pères visiteurs dom Maurice MARIN et dom Albert BALLII ou BALLY, le 16 novembre 1654. Autres aux mêmes au cours des visites faites par le Révérend Père dom Mauritius GIRBALD, provincial, et le Révérend Père dom Basile FLEUREAU, 1658 ; des Révérends Pères visiteurs D. Eusebtus BURONTIUS et D. Mauritius GIRIBALDUS, janvier 1660 ; des Révérends Pères dom Claude PILLE, provincial, et dom Charles-Louis LONGHIN, prévôt de SAINT-ELOI de PARIS, 25 juillet 1662. Copie d'une lettre au Rme Père Général dom SANTEL au Révérend Père dom Dominique DELAMOTTE, provincial de France, ROME, 21 novembre 1674. Rapport de visite de dom Barthélémy CAZALONG, provincial, accompagné du Père de La FERRIERE, constatant des irrégularités dans les comptes du Collège et prescrivant différentes mesures propre à les faire cesser, 1er juin 1744. Copie d'une ordonnance du Révérend Père Provincial des Clercs réguliers de France dom Séverin CASAUBON. Avis de décès des Pères Pierre-Marie SILONI, Richard BOTTRAFI, Jean-François MAXIT ; du Frère Barthélémy CANALE, des Soeurs Marie-Cajetan STAMPE et Paule-Antoine GRANDATI décédés en différents monastères d'ITALIE, de septembre 1746 à janvier 1747 ; billet de dom Clément PAUCHAUVIN au Supérieur d'ETAMPES, [s.d.]. Idem, 9 mars 1759.

Organisation intérieure et rapports avec la ville [d'ETAMPES].

Temporalité. - Revenus, recettes, dépenses. Papier Journal des revenus annuels des Révérends Pères de la Congrégation de St PAUL du collège St ANTOINE de la Ville d'ESTAMPES, vulgairement dits Barnabites..., dressé au commencement de l'année 1651. Divisions et contenus du registre : Fol. 1er : biens cédés par les maire, échevins et communauté de la ville d'ETAMPES en vertu des articles accordés entre eux et les Pères Barnabites lors de leur établissement en ladite ville. Fol. 9 : biens de la Commanderie ou Hôpital SAINT-JACQUES de l'EPEE de la ville d'ETAMPES. Les dîmes à percevoir sur plusieurs terre et vignes sises à VILLENEUVE-SOUS-MONTFAULCON et ses environs. Les censives et droits seigneuriaux de VILLENEUVE-SOUS-MONTFAUCON. Fol. 30 : biens de l'Hôpital SAINT-ANTOINE d'ETAMPES. Un arpent et demi de pré assis en la prairie d'ETAMPES, proche du clos SAINT-LAZARE. Une rente foncière [...] due par François et Jacques MAUGE, de FOURCHAINVILLE, paroisse de VILLECONIN. Une rente viagère, de 28 livres tournois, à cause du moulin de GRENET, sis à SACLAS. Une autre, de 20 sols tournois, à cause d'un arpent de terre et courtil assis à AUBTERRE, appelé l'aire GARNIER. 5 quartier ou environ de terre, pré et aulney assis à AUBTERRE, paroisse de CHALO-SAINT-MARS. Les censives dues annuellement à l'Hôpital d'ETAMPES le jour de Saint Rémi et les droits seigneuriaux. Fol. 60 : biens données aux Pères d'ETAMPES par des particuliers en faveur de leur établissement : M. Isaac GUISENET, François DURAND, M. PROVENSAL, M. FOULDRIER, M. LAUREAULT, M. Pierre LE GENDRE. Fol. 80 : biens donnés aux Pères Barnabites pour fondations de messes en leur église SAINT-ANTOINE d'ETAMPES. Fol. 126 : fondation du boursier de M. PETAU, lieutenant général. 277 livres 15 sols 6 deniers de rente. Fol. 130 : donations gratuites. M. CREZIEUX. Une maison sise à PARIS, rue Galande, proche la place Maubert. Don fait à la maison des Barnabites d'ETAMPES en faveur du Père D. Estienne RAIGE, [...]. Fol. 160 : acquisitions. Rentes à AUBTERRE, à PARIS, à THIONVILLE, à ETAMPES. Les renseignements fournis quant au paiement des rentes s'étendent jusqu'à l'année 1713.

Donations et testaments. - Cahier écrit de la main du Révérend Père dom TRIMOUILLE, supérieur des Barnabites, contenant le détail de l'emploi des 8 000 livres léguées et plus spécialement des dépenses faites aux bâtiments, 1655. Copie authentique d'une constitution de rente faite par les Pères Barnabites aux religieux de SAINTE-GENEVIEVE-DU-MONT, à l'aide des deniers du legs PETAU, 9 mai 1648. Quittance d'amortissement de cette rente délivrée aux Pères Barnabites par François BLANCHARD, abbé de SAINTE-GENEVIEVE-DU-MONT de PARIS et supérieur général des chanoines réguliers de l'ordre de SAINT-AUGUSTIN de la congrégation de France, François SEGUIER, prieur, Jean FRONTEAU, chancellier de l'Université, Claude SALESSE, régent en théologie, et Antoine LE MAISTRE, procureur de ladicte maison, tous religieux profex de ladicte abbaie assemblez au chapitre dudict lieu, 25 mai 1658. Présentations de boursiers par les héritiers PETAU : Antoine VINEL, de PARIS, en 1658 ; Charles PETIT, d'ETAMPES, en 1663 ; Claude PERAS, de PARIS, en 1673 ; Jean BIEMONT, de PARIS, en 1683 ; Charles-Alexis des Abrevoirs, qui succède à son frère Henri, en 1701 ; Pierre-Charles de FITE de CHATONVILLE, en 1713 ; Jacques BORDIER, fils d'un marchand tailleur d'ETAMPES, 1714 ; Louis-François BORDIER, frère du précédent, 1725 ; Pierre JABINEAU, fils d'un procureur d'ETAMPES, 1735 ; François-Antoine PAVYE, fils d'un bourgeois d'ETAMPES et huissier au Châtelet de PARIS, 1746 [...] jusqu'en 1780. Quittance délivrée aux Pères Barnabites par DESFORGES et FROMENTIN pour la somme de 160 livres à eux payée comme titulaires de la bourse PETAU, 1755-1763.

RICHARVILLE : paroisse Saint-Lubin.

Inventaire des titres, contrats et autres enseignements de la Maison et Collège SAINT-ANTOINE des Révérends Pères de la Congrégation Saint PAUL dits Barnabites de la Ville d'ETAMPES, fait au mois d'octobre 1667 par le Révérend Père D. Basile FLEUREAU, supérieur, contenant 159 pages écrites et non écrites.

DOURDAN. - Etablissement d'une Association de Dames pour instruire les jeunes filles (1678), qui prit en 1696 le nom de Filles de l'Instruction chrétienne. Autorisations royale et épiscopale. [Invent. p. 3-5.] [La communauté, installée rue de la Haute-Foulerie, survécut à la Révolution et ne s'éteignit qu'en 1835 (GUYOT, Chronique de DOURDAN, p. 271-275).]

Temporalité (1718 - 1746).

SACLAY. - Fonds de l'église paroissiale SAINT-GERMAIN : rente affectée à l'école des filles. Titre d'une rente appartenant à Charles-Louis GUERIN de RICHEVILLE, avocat au Parlement (1720) ; acte notarié constatant que Charles-Louis GUERIN de RICHEVILLE, d'une part, Jean BOBE, prêtre, docteur de Sorbonne, curé des églises paroissiales de SAINT-GERMAIN de SACLAY et de SAINT-BARTHELEMY de VAUHALLAN, son annexe, ainsi que les marguilliers en charge, d'autre part, ont comparu par-devant les notaires au Châtelet. GUERIN de RICHEVILLE donne 150 livres de rente, dont 90 destinées à la rétribution de Catherine MONDION, maîtresse d'école de SACLAY, et à celles qui lui succéderont ; sont indiqués dans l'acte les devoirs que devra remplir la maîtresse d'école (1728) ; lettres royaux obtenues à ce sujet (1729) ; titre constatant que la maîtresse d'école de la paroisse de SACLAY et de VAUHALLAN est propriétaire de 60 livres de rente (1766).

Organisation intérieure.

Correspondance de la Maison des Barnabites de PARIS avec celle d'ETAMPES. - Lettres adressées au Révérend Père CATILLON, supérieur des Barnabites à ETAMPES, par le Révérend Père MARTIN, à partir de 1746. Lettre du 8 juin 1746, 27 juin [1746], 12 octobre [1746], 2 novembre [1746], 5 novembre 1746. [Il est fréquemment question dans ces lettres, ainsi que dans celles qui seront inventoriées sous les articles suivants, des recettes et des dépenses faites par le Révérend Père MARTIN au nom du collège d'ETAMPES, lesquelles donnent lieu à un compte particulier qui figure parfois sur les lettres mêmes.]

Correspondance de la Maison des Barnabites de PARIS avec celle d'ETAMPES. - Lettres adressées au Révérend Père CATILLON, supérieur des Barnabites à ETAMPES [ne comporte aucune date [1746 (?)-1749 (?)]] [Il est fréquemment question dans ces lettres, ainsi que dans celles qui seront inventoriées sous les articles précédents, des recettes et des dépenses faites par le Révérend Père MARTIN au nom du collège d'ETAMPES, lesquelles donnent lieu à un compte particulier qui figure parfois sur les lettres mêmes.].

Temporalité. - Comptes particuliers pour le Collège d'ETAMPES [adressées, pour la plupart, en même temps que les lettres mentionnées aux articles D. 9-15], par le Révérend Père MARTIN aux successeurs du Collège d'ETAMPES. Comptes des années 1747, 1748, 1749, envoyés au Révérend Père CATILLON ; des années 1751 à 1763 au Révérend Père LA BORDE ; des années 1764-1778 au Révérend Père GUIOT. Dépenses. [janvier-juillet 1752, janvier-mars 1755-1756, juillet-décembre 1757, année 1761, 1764, 1777, 1778]. Divers reçus délivrés par le sieur BONNET, maître ès-arts et de pension du collège d'ETAMPES au Supérieur des Barnabites pour plusieurs sommes de 175 livres, représentant ses honoraires pendant six mois, 1782-1785. Mémoire sur le situation et les revenus de la cense de SAINT-QUENTIN en VERMANDOIS, [s.d.]. Autre sur les revenus de la ville d'ETAMPES [s.d.].

Correspondance de la Maison des Barnabites de PARIS avec celle d'ETAMPES. - Lettres adressées au Révérend Père CATILLON, supérieur des Barnabites à ETAMPES, par le Révérend Père MARTIN, pendant l'année 1747 : 1er juin, 7 octobre, 28 octobre. [Il est fréquemment question dans ces lettres, ainsi que dans celles qui seront inventoriées sous les articles suivants, des recettes et des dépenses faites par le Révérend Père MARTIN au nom du collège d'ETAMPES, lesquelles donnent lieu à un compte particulier qui figure parfois sur les lettres mêmes.]

Correspondance de la Maison des Barnabites de PARIS avec celle d'ETAMPES. - Lettres adressées au Révérend Père CATILLON, supérieur des Barnabites à ETAMPES, pendant l'année 1748 : 25 janvier, 7 février, 27 avril, 3 mai, 11 octobre, 9 décembre. [Il est fréquemment question dans ces lettres, ainsi que dans celles qui seront inventoriées sous les articles suivants, des recettes et des dépenses faites par le Révérend Père MARTIN au nom du collège d'ETAMPES, lesquelles donnent lieu à un compte particulier qui figure parfois sur les lettres mêmes.]

Correspondance de la Maison des Barnabites de PARIS avec celle d'ETAMPES. - Lettres adressées au Révérend Père CATILLON, supérieur des Barnabites à ETAMPES, pendant l'année 1749 : 1er, 5, 28 janvier, 1er ou 5, 10 février, 21, 24 juin. [Il est fréquemment question dans ces lettres, ainsi que dans celles qui seront inventoriées sous les articles suivants, des recettes et des dépenses faites par le Révérend Père MARTIN au nom du collège d'ETAMPES, lesquelles donnent lieu à un compte particulier qui figure parfois sur les lettres mêmes.]

Temporalité. - Livre officiel des recettes et dépenses faites de février 1751 au mois d'avril 1790, revêtu des signatures des Supérieurs de la maison [collège d'ETAMPES].

Correspondance de la Maison des Barnabites de PARIS avec celle d'ETAMPES. - Lettre adressée par le Révérend Père MARTIN au Révérend Père LA BORDE, supérieur des Barnabites à ETAMPES en BEAUCE, route d'Orléans, 1er mai 1754.

Temporalité. - Etat des sommes dues à divers fournisseurs par M. BERTRAND, maître de pension du Collège d'ETAMPES. Il est accompagné d'une lettre de Mme BERTRAND [Geneviève MORTIER], laquelle déclare que n'étant point en état de payer, elle a, d'accord avec son mari, fait aux Révérends Pères Supérieur et religieux Barnabites un abandon général de tous les meubles et effets qui peuvent se trouver dans ledit Collège. En conséquence lesdits supérieur et Barnabites se sont obligés de païer lesdites dettes et se sont en outre chargés de nourrir et entretenir le reste de ses jours son mari, que son état d'infirmité met hors d'état de signer, 30 avril 1767. Sont joints de nombreux mémoires de fournisseurs, des billets signés BERTRAND et endossés par les Pères Barnabites, des quittances de sommes payées par ces derniers. Ces comptes s'étendent de 1755 à 1772.

Temporalité. - Livre Journal des recettes et dépenses faites de janvier 1759 au 31 décembre 1790 [du collège d'ETAMPES].

Correspondance de la Maison des Barnabites de PARIS avec celle d'ETAMPES. - Lettre adressée au Révérend Père GUIOT ou GUYOT, supérieur du collège des Barnabites à ETAMPES, pièces annexes, de 1766 à 1768. Pouvoirs donnés par le Supérieur des Barnabites établis à PARIS au prieuré SAINT-ELOI, au nom de ce couvent, à Dom Bernard GUIOT, supérieur des Barnabites d'ETAMPES, de régir et d'administrer pour les Barnabites de PARIS leurs biens situés à GIROFOSSE-LES-ESTAMPES et au village de LA MONTAGNE, aussi près ESTAMPES. Signature : D.G. de NOGUES, supérieur, 13 mai 1766. Lettres du 13 février 1777, 31 décembre 1778.

Supplément. - Procès au sujet du droit de nomination à la bourse PETAU, entre le lieutenant général, les maire et échevins d'ETAMPES, le curé de SAINT-BASILE, d'une part, et de prétendus héritiers de M. PETAU, habitant ORLEANS, d'autre part. Ces derniers voulaient faire admettre un boursier de leur choix et, de plus, accusaient les Pères Barnabites de fautes graves dans l'administration de la bourse. Les religieux après avoir d'abord pris part au procès, s'en retirèrent à la suite d'une consultation juridique, qui résume clairement la situation. Plusieurs pièces de procédure se rapportant à ce procès, 1771-1780. Arrêt du Parlement déclarant que la nomination comme boursier d'Eloy FROMENTIN, faite par les soi-disant héritiers PETAU est nulle et sans effet, faute d'avoir justifié leur prétendue parenté avec le deffunt Jacques PETAU, et reconnaissant le bon droit de leurs adversaires, 19 février 1780. Quittances de 160 livres délivrées à M. PECHARD, supérieur de la maison des Barnabites par Geoffroy, dont le fils [peut-être Geoffroy SAINT-HILAIRE] était titulaire de la bourse, 1781-1784.

SACLAS. - Mairie, école.- Maison d'école : réparations, 1821 [1] ; construction, 1834 [2] ; reconstruction et travaux, 1845-1852 [3] ; école de garçons et mairie : travaux, 3 plans couleur 1883-1907 [4] ; école, mairie : travaux, 1911-1928 [5] ; traitement de l'instituteur, 1860 [6] ; école de filles :création d'une école privée par Madame Schimd, subvention de 300 francs pour l'achat de mobilier (1860) ; bail de location par la mairie d'un maison afin d'établir une école de filles (1866), travaux de construction d'une salle de classe, acquisition par la mairie de la maison d'école de filles, nouveaux travaux (1875-1887), construction d'une nouvelle école de filles avec classe enfantine (1903-1907), aliénation de l'ancienne école de filles (1906-1909).

VERT-LE-PETIT - Instruction publique, sciences, arts et lettres. - Distribution des prix aux élèves méritants (1848 - 1907). Fête cantonale des écoles (1908) ; f^te organisée le 5 juillet 1903 en faveur des instituteurs par l'Union des délégués cantonaux et l'association de la presse républicaine. Oeuvres des écoles en faveur des sinistrés du Midi et des ouvriers de l'industrie cotonnière de Seine inférieure : listes de souscripteurs (1875). Demandes de bourses en faveur des enfants du personnel de la poudrerie du Bouchet (1859 - 1875), autres demandes de bourses (1907). Laïcisation de l'école publique de filles comme conséquence de l'application de la loi votée le 1er juillet 1901 : correspondance du préfet et du sous-préfet (1891, 1901). Ecole privée de filles, nomination de sa directrice ; relations de celle-ci avec la commune et l'administration préfectorale : correspondance, listes des élèves, déclarations des parents (1900 - 1904). Inspection médicale dans les écoles (1906). Transport scolaire, proposition du directeur de la poudrerie du Bouchet de mettre un véhicule utilitaire à disposition pour le transport des élèves (1924).

ATHIS-MONS, enseignement. - Institut des frères des écoles chrétiennes : 6 bulletins de L'Oeuvre du bienheureux de LA SALLE pour le recrutement des frères des écoles chrétiennes (1893-1902, 1921), notice nécrologique imprimée sur le Frère IRLIDE supérieur général (1884) et le frère Joseph, faire part de décès (1897), brochures des assemblées générales du Cercle des Francs-Bourgeois (1893-1898), une biographie du frère Philippe et un portrait (1874), La Croix et le Pélerin des 4 et 10 janvier 1897, La Semaine religieuse du 17 janvier (1897), coupures de journaux évoquant les différentes nominations des supérieurs de l'école, correspondance, invitations, programme (1893-1900). Une publicité pour l'institution secondaire d'Athis-Mons (1939). Collège Saint Charles : coupures de journaux évoquant l'inauguration du collège et de sa chapelle (1953).

Greffe, civil. - Contrôle et légalisation : déclarations d'ouverture d'écoles privées.

Montlhéry.- Institution de jeunes filles dirigée par Mme Barbe [1904-1910].

Greffe, civil. - Contrôle et légalisation : déclarations d'ouverture d'écoles privées.

Montlhéry.- Institution de Mme Barbe : Cour de récréation [1900-1903].

Montlhéry.- Institution Prou : Cours de gymnastique [1900-1903].

600 Avant JC
500 Avant JC
400 Avant JC
300 Avant JC
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2050
2060
2070

Commanderie de SAINT-JACQUES [ETAMPES].

1 janvier 1184

Commanderie de SAINT-JACQUES [ETAMPES].

Date

1184-1402

Cote

D/25

  • Contexte : D INSTRUCTION PUBLIQUE, SCIENCES ET ARTS (1184-1792)
  • Commanderie de SAINT-JACQUES [ETAMPES].

Producteur :

SOEURS DE L INSTRUCTION CHRETIENNE DE DOURDAN (service producteur), CONGREGATION NOTRE-DAME DE CORBEIL (service producteur), PARIS Nicolas (service producteur), ARCHIVES DEPARTEMENTALES DES YVELINES (service versant)

Commanderie de SAINT-JACQUES [ETAMPES]. - Titres concernant la nomination de Pierre DANCE comme commandeur de SAINT-JACQUES D'ETAMPES. Lettre à dom FERDINAND, roi catholique d'ESPAGNE, d'ARAGON et de SICILE, grand-maître de l'ordre de SAINT-JACQUES de l'EPEE, à l'archevêque de SENS et aux frères dudit ordre, pour leur faire connaître la bulle de provision du pape LEON X, datée de juin 1514, et qui envoie Pierre DANCE en possession de la commanderie d'ETAMPES, à la place de Laurent de LA PERRIERE qui a volontairement résigné cette charge, 6 mai 1515. Recueil de copies, faites au XVIIIe siècle, d'actes relatifs à cette nomination [...]. Copie de l'acte ci-dessus. Acte par lequel Daniel PAVIE, prêtre, notaire, déclare avoir, en vertu des précédentes lettres et au nom du SAINT-SIEGE et de l'archevêque de SENS, mis en possession réelle, actuelle et corporelle de la Commanderie de SAINT-JACQUES de l'EPEE, dom Jean GABLE, procureur de noble et docte personne Pierre DANCE. La cérémonie s'est accomplie, 22 août 1515. Lettres patentes de FRANCOIS I, en joignant au bailli d'ETAMPES de mettre Pierre DANCE en possession réelle de la commanderie SAINT-JACQUES de l'EPEE et de toutes ses dépendances, ANGERS, 5 juillet 1518. Copie authentique du vidimus de 1492, mentionné à l'article précédent.

1 janvier 1514

Rentes. - Titres concernant 300 livres de rente dues au Collège d'ETAMPES par l'Hôtel-Dieu de cette ville, à cause de la réunion faite audit Hôtel-Dieu, de la maladrerie de SAINT-LAZARE. Lettres patentes de HENRI III, accordant au Collège d'ETAMPES, sur la demande des maires et échevins de ladite ville, une rente de 300 livres à prendre sur les revenus de la léproserie de SAINT-LAZARE, PARIS, 20 août 1575. Copie authentique de l'acte précédent [s.d.]. Extrait des registres du Parlement, portant enregistrement du même acte le 15 septembre 1576. Arrêt du Grand Conseil rendu à la suite de l'appel interjeté par les maire et échevins de la ville d'ETAMPES contre une sentence de la Chambre de la Charité chrétienne du 11 mars 1609, et ordonnant l'exécution pleine et entière des lettres patentes du Roi du 20 août 1575, par lesquelles il était permis de prendre 300 livres par an sur les revenus de la maladrerie de SAINT-LAZARE pour l'entretien du Collège, 14 décembre 1609 ; copie authentique de l'arrêt de la Chambre de la Charité chrétienne refusant aux maire et échevins d'ETAMPES le droit de prendre 300 livres de rente annuelle sur les revenus de la maladrerie de SAINT-LAZARE, 1609. Copie des lettres patentes de LOUIS XIII ordonnant l'exécution de l'arrêt du Grand Conseil qui autorise à prendre 300 livres chaque année sur les revenus de la maladrerie de SAINT-LAZARE, pour l'entretien du Collège d'ETAMPES, 24 mars 1614 ; autre copie du même acte. Brevet du roi LOUIS XIII qui leur fait don de la maladrerie de SAINT-LAZARE d'ETAMPES, SAINT-GERMAIN-EN-LAYE, 31 janvier 1634. Ordonnance du bailli d'ETAMPES portant que les 300 livres de rente dues par la léproserie de SAINT-LAZARE seront payées aux Barnabites, 14 février 1640. Arrêt de la Chambre souveraine ordonnant le paiement aux Barnabites des 300 livres à prendre sur SAINT-LAZARE et qui n'avaient pas été payées en 1641, 18 septembre 1642. Arrêt du Grand Conseil ordonnant à la suite d'un procès entre Gabriel de MERCENNES, qui jouissait des revenus de SAINT-LAZARE, et les Barnabites d'ETAMPES, de payer à ces derniers les 300 livres de rente qui leur sont dues, 19 avril 1655. Copie d'un arrêt du Conseil privé du Roi reconnaissant au grand aumônier de France, cardinal Antoine BARBERIN, le droit de pourvoir à l'administration de la maladrerie de SAINT-LAZARE d'ETAMPES, droit qui lui était disputé par le duc de VENDOME, auquel le duché d'ETAMPES appartenait, 17 décembre 1655. Copie des comptes de la maladrerie de SAINT-LAZARE rendus à la Chambre générale réformation des hôpitaux et maladreries de France par les religieux de la Congrégation de SAINT-PAUL du Collège d'ETAMPES, 16 avril 1657. Arrêt du Grand Conseil, 17 juillet 1659. Copie authentique d'un arrêt du Conseil privé du Roi qui unit à l'Hôtel-Dieu de la ville d'ETAMPES les biens provenant de la maladrerie de SAINT-LAZARE et le quart du revenu de l'hôpital de SAINT-JACQUES de l'EPEE, les trois autres quarts restant aux Barnabites, 15 avril 1695. Ordonnances de paiement pour les 300 livres sur SAINT-LAZARE et les 300 livres sur les biens patrimoniaux de la ville, 31 janvier 1732.

1 janvier 1575

Commanderie de SAINT-JACQUES [ETAMPES].

1 janvier 1576

ETAMPES. - Censes de l'EPEE (1579 - 1714).

1 janvier 1579

ETAMPES, collège. - Spiritualité et affaires générales de la communauté. Decreta capitorum generalium ab anno 1579 usque ad annum 1662 inclusive ; cum moderationibus additionibusve eorundem ; ordine servato titulorum seu capitum nostrarum constitutionum [imprimé]. De officio proefecti coerimoniarum, et chori, apud ciericos regulares S. Pauli decollati [imprimé]. Bref du pape Innocent X en faveur des Réguliers touchant les confessions de la quinzaine de Pâques, 1645. Extrait de règlements, 1645. Copie authentique, 1646. Ordonnance pour les confessions de Pâques , mars 1651.

1 janvier 1579

Titres concernant la possession de la commanderie hospitalière de SAINT-JACQUES de l'EPEE et les biens en dépendant. - Titres généraux : instructions et mémoires, [s.d.]. Mémoire de quelques titres de SAINT-JACQUES [...], [s.d.]. Inventaire des titres et pièces de la censive de SAINT-JACQUES de l'EPEE, appartenant par indivis aux Révérends Pères Supérieur et religieux Barnabites d'ETAMPES et à l'Hôtel-Dieu de la Ville ; récépissé daté de 1764.

1 janvier 1600

GRIGNY. - Fonds de l'église paroissiale SAINT-ANTOINE : testament de Madeleine JOURNEE, femme de Damien DUPERRET, portant plusieurs legs à l'église de GRIGNY et aux paroisses circonvoisines (14 juillet 1625, 30 novembre 1626). Transaction entre Jean CERTAIN, docteur en théologie, curé de SAINT-ANTOINE et SAINT-SULPICE de GRIGNY, Joachim COULLAUD, vicaire, les paroissiens de GRIGNY et M. DUPUIS, portant cession des droits de la fabrique, pour exécuter les dispositions du testament de Madeleine JOURNEE, en échange de trois pièces de terre, contenant six arpents et demi, à charge de service religieux (27 août 1630). Baux de terres appartenant à la fabrique (1691-1720). Location d'un banc dans la nef de l'église par les marguilliers en charge (31 octobre 1721). Inventaire des titres et papiers de la fabrique : baux, titres nouvels, rentes et charges, une liasse de quatre pièces en papier concernant la fondation de l'école des filles de GRIGNY, fondée par la dame de la Chapelle (1773).

1 janvier 1625

Donations et testaments. - Legs PETAU. Fondation de deux bourses au collège d'ETAMPES. Extrait authentique du testament olographe de Me Jacques PETAU, conseiller du Roi, lieutenant-général civil et criminel au bailliage d'ETAMPES. Codicille de 1629 ; le testament lui-même, du 1er novembre 1626. Sentence de la Chambre des Requêtes portant délivrance aux Pères Barnabites du legs PETAU aux charges et conditions ci-dessus, 18 septembre 1653. Arrêt du Parlement rendu à l'occasion du différend qui s'était élevé entre les Pères Barnabites, appelant de jugements précédents, et Me François PERREAUX, conseiller et maistre d'hostel ordinaire du Roy, président et trésorier général de France en la Généralité de SOISSONS, époux de Jeanne PETAU, et Me Simon COUSTE, secrétaire de la Chambre du Roy et du sieur lieutenant-civil de PARIS, agissant tant pour eux que pour les autres héritiers de M. PETAU. Les charges imposées par le testament aux Barnabites sont réduites ainsi qu'il suit. Sur la somme de 8 000 livres qui leur est léguée, ils prendront 3 000 livres pour agrandir leur église et leurs autres bâtiments ; les 5 000 livres qui resteront seront placées en fonds d'héritages, et le revenu servira à nourrir, entretenir, instruire, en leur maison ou aultres à leurs charges et despens un boursier et non deux, de dire ou faire dire, suivant les intentions de M. PETAU, pour le repos de son âme et de celle de ses parents, 14 mai 1658. Mémoires d'avocats et pièces de procédure relatifs à ce procès.

1 janvier 1626

Titres concernant l'établissement des Barnabites à ETAMPES. Acte d'établissement de septembre 1629. Articles et conventions accordés entre les maires et échevins d'ETAMPES et les Révérends Pères dom Candide POSTCOLONNE et dom Anselme CHARDON. Cession de la maison et collège situés rue Saint-Antoine, 5 septembre 1629. Ratification des articles par le Père Général des Barnabites à MILAN, 21 mars 1631. Pièces diverses concernant les Barnabites : copie de lettres patentes du roi LOUIS XIII de mars 1622, aux termes desquelles il permet aux Barnabites de s'établir tant dans la ville de MONTARGIS que dans les autres villes, bourgs et lieux du Royaume où ils pourront être appelés, d'y faire bâtir des églises, collèges et maisons pour y vivre selon l'ordre de leur instruction, d'accepter les legs, dons et aumônes qui leur seront faits ; copie des lettres du Roi confirmant l'établissement des Barnabites à ETAMPES, 1633 ; supplication des maires et échevins de la ville d'ETAMPES à Mgr le Grand Aumônier de France, pour le prier de donner sa nomination au Roy, nostre sire, des maladrerye SAINT-LAZARE et l'hôpital SAINT-ANTOINE en faveur Barnabites pour obtenir l'homologation du traité entre la ville d'ETAMPES et les Barnabites, 17 mars 1636 ; copie collationnée de l'arrêt de vérification des lettres du Roi donné en Parlement le 9 mai 1636 ; jugement rendu des hôpitaux et maladreries de France confirmatif du délaissement fait par les maire et échevins d'ETAMPES aux Barnabites du revenu de l'hôpital de SAINT-JACQUES de l'EPEE en cette ville, 19 janvier 1638.

1 janvier 1629

Rentes. - Rente de 100 livres sur les deniers de la ville d'ETAMPES. Ordonnance du lieutenant général d'ETAMPES, permettant aux Barnabites de saisir sur les deniers de la ville les sommes qui leur sont dues pour une rente de cent livres, 15 janvier 1642. Acte d'adjudication par les maire et échevins de la ferme du droit de courte-pinte, qui se perçoit sur tous les hosteliers, taverniers, cabaretiers et autres habitants vendants vin par assiette en cette ville et faubourgs d'ETAMPES, 8 mars 1663. Procès avec la ville d'ETAMPES, qui refusait de payer plusieurs années de la rente, sous prétexte que les Barnabites n'y entretenaient plus qu'un seul régent. La ville est condamnée, parce qu'une assemblée des notables avait elle-même, en 1670, autorisé les Barnabites à fournir un régent capable, 1684. Arrêt du Conseil d'Etat réglant en détail l'emploi des revenus de la ville d'ETAMPES, 15 mars 1692.

1 janvier 1642

Affaires générales. - Lettre du Rme P. Provincial, signée Dom J. Augustin GALLICE, Provincial, au Révérend Père Supérieur des religieux de la Congrégation de SAINT-PAUL à ETAMPES, portant permission de tenir dans le collège des pensionnaires en vertu de l'autorisation du Rme P. Général, PARIS, 26 mai 1648. Avertissements donnés aux Barnabites d'ETAMPES lors de la visite faite par les Révérends Pères visiteurs dom Maurice MARIN et dom Albert BALLII ou BALLY, le 16 novembre 1654. Autres aux mêmes au cours des visites faites par le Révérend Père dom Mauritius GIRBALD, provincial, et le Révérend Père dom Basile FLEUREAU, 1658 ; des Révérends Pères visiteurs D. Eusebtus BURONTIUS et D. Mauritius GIRIBALDUS, janvier 1660 ; des Révérends Pères dom Claude PILLE, provincial, et dom Charles-Louis LONGHIN, prévôt de SAINT-ELOI de PARIS, 25 juillet 1662. Copie d'une lettre au Rme Père Général dom SANTEL au Révérend Père dom Dominique DELAMOTTE, provincial de France, ROME, 21 novembre 1674. Rapport de visite de dom Barthélémy CAZALONG, provincial, accompagné du Père de La FERRIERE, constatant des irrégularités dans les comptes du Collège et prescrivant différentes mesures propre à les faire cesser, 1er juin 1744. Copie d'une ordonnance du Révérend Père Provincial des Clercs réguliers de France dom Séverin CASAUBON. Avis de décès des Pères Pierre-Marie SILONI, Richard BOTTRAFI, Jean-François MAXIT ; du Frère Barthélémy CANALE, des Soeurs Marie-Cajetan STAMPE et Paule-Antoine GRANDATI décédés en différents monastères d'ITALIE, de septembre 1746 à janvier 1747 ; billet de dom Clément PAUCHAUVIN au Supérieur d'ETAMPES, [s.d.]. Idem, 9 mars 1759.

1 janvier 1648

Organisation intérieure et rapports avec la ville [d'ETAMPES].

1 janvier 1650

Temporalité. - Revenus, recettes, dépenses. Papier Journal des revenus annuels des Révérends Pères de la Congrégation de St PAUL du collège St ANTOINE de la Ville d'ESTAMPES, vulgairement dits Barnabites..., dressé au commencement de l'année 1651. Divisions et contenus du registre : Fol. 1er : biens cédés par les maire, échevins et communauté de la ville d'ETAMPES en vertu des articles accordés entre eux et les Pères Barnabites lors de leur établissement en ladite ville. Fol. 9 : biens de la Commanderie ou Hôpital SAINT-JACQUES de l'EPEE de la ville d'ETAMPES. Les dîmes à percevoir sur plusieurs terre et vignes sises à VILLENEUVE-SOUS-MONTFAULCON et ses environs. Les censives et droits seigneuriaux de VILLENEUVE-SOUS-MONTFAUCON. Fol. 30 : biens de l'Hôpital SAINT-ANTOINE d'ETAMPES. Un arpent et demi de pré assis en la prairie d'ETAMPES, proche du clos SAINT-LAZARE. Une rente foncière [...] due par François et Jacques MAUGE, de FOURCHAINVILLE, paroisse de VILLECONIN. Une rente viagère, de 28 livres tournois, à cause du moulin de GRENET, sis à SACLAS. Une autre, de 20 sols tournois, à cause d'un arpent de terre et courtil assis à AUBTERRE, appelé l'aire GARNIER. 5 quartier ou environ de terre, pré et aulney assis à AUBTERRE, paroisse de CHALO-SAINT-MARS. Les censives dues annuellement à l'Hôpital d'ETAMPES le jour de Saint Rémi et les droits seigneuriaux. Fol. 60 : biens données aux Pères d'ETAMPES par des particuliers en faveur de leur établissement : M. Isaac GUISENET, François DURAND, M. PROVENSAL, M. FOULDRIER, M. LAUREAULT, M. Pierre LE GENDRE. Fol. 80 : biens donnés aux Pères Barnabites pour fondations de messes en leur église SAINT-ANTOINE d'ETAMPES. Fol. 126 : fondation du boursier de M. PETAU, lieutenant général. 277 livres 15 sols 6 deniers de rente. Fol. 130 : donations gratuites. M. CREZIEUX. Une maison sise à PARIS, rue Galande, proche la place Maubert. Don fait à la maison des Barnabites d'ETAMPES en faveur du Père D. Estienne RAIGE, [...]. Fol. 160 : acquisitions. Rentes à AUBTERRE, à PARIS, à THIONVILLE, à ETAMPES. Les renseignements fournis quant au paiement des rentes s'étendent jusqu'à l'année 1713.

1 janvier 1651

Donations et testaments. - Cahier écrit de la main du Révérend Père dom TRIMOUILLE, supérieur des Barnabites, contenant le détail de l'emploi des 8 000 livres léguées et plus spécialement des dépenses faites aux bâtiments, 1655. Copie authentique d'une constitution de rente faite par les Pères Barnabites aux religieux de SAINTE-GENEVIEVE-DU-MONT, à l'aide des deniers du legs PETAU, 9 mai 1648. Quittance d'amortissement de cette rente délivrée aux Pères Barnabites par François BLANCHARD, abbé de SAINTE-GENEVIEVE-DU-MONT de PARIS et supérieur général des chanoines réguliers de l'ordre de SAINT-AUGUSTIN de la congrégation de France, François SEGUIER, prieur, Jean FRONTEAU, chancellier de l'Université, Claude SALESSE, régent en théologie, et Antoine LE MAISTRE, procureur de ladicte maison, tous religieux profex de ladicte abbaie assemblez au chapitre dudict lieu, 25 mai 1658. Présentations de boursiers par les héritiers PETAU : Antoine VINEL, de PARIS, en 1658 ; Charles PETIT, d'ETAMPES, en 1663 ; Claude PERAS, de PARIS, en 1673 ; Jean BIEMONT, de PARIS, en 1683 ; Charles-Alexis des Abrevoirs, qui succède à son frère Henri, en 1701 ; Pierre-Charles de FITE de CHATONVILLE, en 1713 ; Jacques BORDIER, fils d'un marchand tailleur d'ETAMPES, 1714 ; Louis-François BORDIER, frère du précédent, 1725 ; Pierre JABINEAU, fils d'un procureur d'ETAMPES, 1735 ; François-Antoine PAVYE, fils d'un bourgeois d'ETAMPES et huissier au Châtelet de PARIS, 1746 [...] jusqu'en 1780. Quittance délivrée aux Pères Barnabites par DESFORGES et FROMENTIN pour la somme de 160 livres à eux payée comme titulaires de la bourse PETAU, 1755-1763.

1 janvier 1655

RICHARVILLE : paroisse Saint-Lubin.

1 janvier 1660

Inventaire des titres, contrats et autres enseignements de la Maison et Collège SAINT-ANTOINE des Révérends Pères de la Congrégation Saint PAUL dits Barnabites de la Ville d'ETAMPES, fait au mois d'octobre 1667 par le Révérend Père D. Basile FLEUREAU, supérieur, contenant 159 pages écrites et non écrites.

1 janvier 1667

DOURDAN. - Etablissement d'une Association de Dames pour instruire les jeunes filles (1678), qui prit en 1696 le nom de Filles de l'Instruction chrétienne. Autorisations royale et épiscopale. [Invent. p. 3-5.] [La communauté, installée rue de la Haute-Foulerie, survécut à la Révolution et ne s'éteignit qu'en 1835 (GUYOT, Chronique de DOURDAN, p. 271-275).]

1 janvier 1678

Temporalité (1718 - 1746).

1 janvier 1718

SACLAY. - Fonds de l'église paroissiale SAINT-GERMAIN : rente affectée à l'école des filles. Titre d'une rente appartenant à Charles-Louis GUERIN de RICHEVILLE, avocat au Parlement (1720) ; acte notarié constatant que Charles-Louis GUERIN de RICHEVILLE, d'une part, Jean BOBE, prêtre, docteur de Sorbonne, curé des églises paroissiales de SAINT-GERMAIN de SACLAY et de SAINT-BARTHELEMY de VAUHALLAN, son annexe, ainsi que les marguilliers en charge, d'autre part, ont comparu par-devant les notaires au Châtelet. GUERIN de RICHEVILLE donne 150 livres de rente, dont 90 destinées à la rétribution de Catherine MONDION, maîtresse d'école de SACLAY, et à celles qui lui succéderont ; sont indiqués dans l'acte les devoirs que devra remplir la maîtresse d'école (1728) ; lettres royaux obtenues à ce sujet (1729) ; titre constatant que la maîtresse d'école de la paroisse de SACLAY et de VAUHALLAN est propriétaire de 60 livres de rente (1766).

1 janvier 1720

Organisation intérieure.

1 janvier 1732

Correspondance de la Maison des Barnabites de PARIS avec celle d'ETAMPES. - Lettres adressées au Révérend Père CATILLON, supérieur des Barnabites à ETAMPES, par le Révérend Père MARTIN, à partir de 1746. Lettre du 8 juin 1746, 27 juin [1746], 12 octobre [1746], 2 novembre [1746], 5 novembre 1746. [Il est fréquemment question dans ces lettres, ainsi que dans celles qui seront inventoriées sous les articles suivants, des recettes et des dépenses faites par le Révérend Père MARTIN au nom du collège d'ETAMPES, lesquelles donnent lieu à un compte particulier qui figure parfois sur les lettres mêmes.]

1 janvier 1746

Correspondance de la Maison des Barnabites de PARIS avec celle d'ETAMPES. - Lettres adressées au Révérend Père CATILLON, supérieur des Barnabites à ETAMPES [ne comporte aucune date [1746 (?)-1749 (?)]] [Il est fréquemment question dans ces lettres, ainsi que dans celles qui seront inventoriées sous les articles précédents, des recettes et des dépenses faites par le Révérend Père MARTIN au nom du collège d'ETAMPES, lesquelles donnent lieu à un compte particulier qui figure parfois sur les lettres mêmes.].

1 janvier 1746

Temporalité. - Comptes particuliers pour le Collège d'ETAMPES [adressées, pour la plupart, en même temps que les lettres mentionnées aux articles D. 9-15], par le Révérend Père MARTIN aux successeurs du Collège d'ETAMPES. Comptes des années 1747, 1748, 1749, envoyés au Révérend Père CATILLON ; des années 1751 à 1763 au Révérend Père LA BORDE ; des années 1764-1778 au Révérend Père GUIOT. Dépenses. [janvier-juillet 1752, janvier-mars 1755-1756, juillet-décembre 1757, année 1761, 1764, 1777, 1778]. Divers reçus délivrés par le sieur BONNET, maître ès-arts et de pension du collège d'ETAMPES au Supérieur des Barnabites pour plusieurs sommes de 175 livres, représentant ses honoraires pendant six mois, 1782-1785. Mémoire sur le situation et les revenus de la cense de SAINT-QUENTIN en VERMANDOIS, [s.d.]. Autre sur les revenus de la ville d'ETAMPES [s.d.].

1 janvier 1747

Correspondance de la Maison des Barnabites de PARIS avec celle d'ETAMPES. - Lettres adressées au Révérend Père CATILLON, supérieur des Barnabites à ETAMPES, par le Révérend Père MARTIN, pendant l'année 1747 : 1er juin, 7 octobre, 28 octobre. [Il est fréquemment question dans ces lettres, ainsi que dans celles qui seront inventoriées sous les articles suivants, des recettes et des dépenses faites par le Révérend Père MARTIN au nom du collège d'ETAMPES, lesquelles donnent lieu à un compte particulier qui figure parfois sur les lettres mêmes.]

1 janvier 1747

Correspondance de la Maison des Barnabites de PARIS avec celle d'ETAMPES. - Lettres adressées au Révérend Père CATILLON, supérieur des Barnabites à ETAMPES, pendant l'année 1748 : 25 janvier, 7 février, 27 avril, 3 mai, 11 octobre, 9 décembre. [Il est fréquemment question dans ces lettres, ainsi que dans celles qui seront inventoriées sous les articles suivants, des recettes et des dépenses faites par le Révérend Père MARTIN au nom du collège d'ETAMPES, lesquelles donnent lieu à un compte particulier qui figure parfois sur les lettres mêmes.]

1 janvier 1748

Correspondance de la Maison des Barnabites de PARIS avec celle d'ETAMPES. - Lettres adressées au Révérend Père CATILLON, supérieur des Barnabites à ETAMPES, pendant l'année 1749 : 1er, 5, 28 janvier, 1er ou 5, 10 février, 21, 24 juin. [Il est fréquemment question dans ces lettres, ainsi que dans celles qui seront inventoriées sous les articles suivants, des recettes et des dépenses faites par le Révérend Père MARTIN au nom du collège d'ETAMPES, lesquelles donnent lieu à un compte particulier qui figure parfois sur les lettres mêmes.]

1 janvier 1749

Temporalité. - Livre officiel des recettes et dépenses faites de février 1751 au mois d'avril 1790, revêtu des signatures des Supérieurs de la maison [collège d'ETAMPES].

1 janvier 1751

Correspondance de la Maison des Barnabites de PARIS avec celle d'ETAMPES. - Lettre adressée par le Révérend Père MARTIN au Révérend Père LA BORDE, supérieur des Barnabites à ETAMPES en BEAUCE, route d'Orléans, 1er mai 1754.

1 janvier 1754

Temporalité. - Etat des sommes dues à divers fournisseurs par M. BERTRAND, maître de pension du Collège d'ETAMPES. Il est accompagné d'une lettre de Mme BERTRAND [Geneviève MORTIER], laquelle déclare que n'étant point en état de payer, elle a, d'accord avec son mari, fait aux Révérends Pères Supérieur et religieux Barnabites un abandon général de tous les meubles et effets qui peuvent se trouver dans ledit Collège. En conséquence lesdits supérieur et Barnabites se sont obligés de païer lesdites dettes et se sont en outre chargés de nourrir et entretenir le reste de ses jours son mari, que son état d'infirmité met hors d'état de signer, 30 avril 1767. Sont joints de nombreux mémoires de fournisseurs, des billets signés BERTRAND et endossés par les Pères Barnabites, des quittances de sommes payées par ces derniers. Ces comptes s'étendent de 1755 à 1772.

1 janvier 1755

Temporalité. - Livre Journal des recettes et dépenses faites de janvier 1759 au 31 décembre 1790 [du collège d'ETAMPES].

1 janvier 1759

Correspondance de la Maison des Barnabites de PARIS avec celle d'ETAMPES. - Lettre adressée au Révérend Père GUIOT ou GUYOT, supérieur du collège des Barnabites à ETAMPES, pièces annexes, de 1766 à 1768. Pouvoirs donnés par le Supérieur des Barnabites établis à PARIS au prieuré SAINT-ELOI, au nom de ce couvent, à Dom Bernard GUIOT, supérieur des Barnabites d'ETAMPES, de régir et d'administrer pour les Barnabites de PARIS leurs biens situés à GIROFOSSE-LES-ESTAMPES et au village de LA MONTAGNE, aussi près ESTAMPES. Signature : D.G. de NOGUES, supérieur, 13 mai 1766. Lettres du 13 février 1777, 31 décembre 1778.

1 janvier 1766

Supplément. - Procès au sujet du droit de nomination à la bourse PETAU, entre le lieutenant général, les maire et échevins d'ETAMPES, le curé de SAINT-BASILE, d'une part, et de prétendus héritiers de M. PETAU, habitant ORLEANS, d'autre part. Ces derniers voulaient faire admettre un boursier de leur choix et, de plus, accusaient les Pères Barnabites de fautes graves dans l'administration de la bourse. Les religieux après avoir d'abord pris part au procès, s'en retirèrent à la suite d'une consultation juridique, qui résume clairement la situation. Plusieurs pièces de procédure se rapportant à ce procès, 1771-1780. Arrêt du Parlement déclarant que la nomination comme boursier d'Eloy FROMENTIN, faite par les soi-disant héritiers PETAU est nulle et sans effet, faute d'avoir justifié leur prétendue parenté avec le deffunt Jacques PETAU, et reconnaissant le bon droit de leurs adversaires, 19 février 1780. Quittances de 160 livres délivrées à M. PECHARD, supérieur de la maison des Barnabites par Geoffroy, dont le fils [peut-être Geoffroy SAINT-HILAIRE] était titulaire de la bourse, 1781-1784.

1 janvier 1771

SACLAS. - Mairie, école.- Maison d'école : réparations, 1821 [1] ; construction, 1834 [2] ; reconstruction et travaux, 1845-1852 [3] ; école de garçons et mairie : travaux, 3 plans couleur 1883-1907 [4] ; école, mairie : travaux, 1911-1928 [5] ; traitement de l'instituteur, 1860 [6] ; école de filles :création d'une école privée par Madame Schimd, subvention de 300 francs pour l'achat de mobilier (1860) ; bail de location par la mairie d'un maison afin d'établir une école de filles (1866), travaux de construction d'une salle de classe, acquisition par la mairie de la maison d'école de filles, nouveaux travaux (1875-1887), construction d'une nouvelle école de filles avec classe enfantine (1903-1907), aliénation de l'ancienne école de filles (1906-1909).

1 janvier 1821

VERT-LE-PETIT - Instruction publique, sciences, arts et lettres. - Distribution des prix aux élèves méritants (1848 - 1907). Fête cantonale des écoles (1908) ; f^te organisée le 5 juillet 1903 en faveur des instituteurs par l'Union des délégués cantonaux et l'association de la presse républicaine. Oeuvres des écoles en faveur des sinistrés du Midi et des ouvriers de l'industrie cotonnière de Seine inférieure : listes de souscripteurs (1875). Demandes de bourses en faveur des enfants du personnel de la poudrerie du Bouchet (1859 - 1875), autres demandes de bourses (1907). Laïcisation de l'école publique de filles comme conséquence de l'application de la loi votée le 1er juillet 1901 : correspondance du préfet et du sous-préfet (1891, 1901). Ecole privée de filles, nomination de sa directrice ; relations de celle-ci avec la commune et l'administration préfectorale : correspondance, listes des élèves, déclarations des parents (1900 - 1904). Inspection médicale dans les écoles (1906). Transport scolaire, proposition du directeur de la poudrerie du Bouchet de mettre un véhicule utilitaire à disposition pour le transport des élèves (1924).

1 janvier 1848

ATHIS-MONS, enseignement. - Institut des frères des écoles chrétiennes : 6 bulletins de L'Oeuvre du bienheureux de LA SALLE pour le recrutement des frères des écoles chrétiennes (1893-1902, 1921), notice nécrologique imprimée sur le Frère IRLIDE supérieur général (1884) et le frère Joseph, faire part de décès (1897), brochures des assemblées générales du Cercle des Francs-Bourgeois (1893-1898), une biographie du frère Philippe et un portrait (1874), La Croix et le Pélerin des 4 et 10 janvier 1897, La Semaine religieuse du 17 janvier (1897), coupures de journaux évoquant les différentes nominations des supérieurs de l'école, correspondance, invitations, programme (1893-1900). Une publicité pour l'institution secondaire d'Athis-Mons (1939). Collège Saint Charles : coupures de journaux évoquant l'inauguration du collège et de sa chapelle (1953).

1 janvier 1874

Greffe, civil. - Contrôle et légalisation : déclarations d'ouverture d'écoles privées.

1 janvier 1900

Montlhéry.- Institution de jeunes filles dirigée par Mme Barbe [1904-1910].

1 janvier 1900

Greffe, civil. - Contrôle et légalisation : déclarations d'ouverture d'écoles privées.

1 janvier 1900

Montlhéry.- Institution de Mme Barbe : Cour de récréation [1900-1903].

1 janvier 1900

Montlhéry.- Institution Prou : Cours de gymnastique [1900-1903].

1 janvier 1900