Cote/Cotes extrêmes
Date
Organisme responsable de l'accès intellectuel
Description physique
Présentation du contenu
Les Archives départementales ont pour vocation principale de recevoir les papiers versés par les administrations publiques. Cependant, ce n'est pas, loin de là, leur unique source d'enrichissement. Les archives privées, provenant de personnes physiques ou morales, viennent en effet accroître sensiblement les collections : entrés par don, legs, achat ou encore confiés en dépôt, tous ces documents sont classés dans la série J des Archives départementales, créée par une circulaire du 15 avril 1944 pour recueillir les seuls documents entrés par voie extraordinaire. Le volume des documents qui entre dans cette série est très variable, selon qu'il s'agit, par exemple, de lettres isolées ou d'un fonds de seigneurie. Aussi, depuis 1965 (circulaire AD 65-29 de la Direction des Archives de France), a-t-on subdivisé la série J en sous-série.
La sous-série 1J est destinée à ne regrouper que les documents isolés ou les petits fonds n'excédant pas un carton d'archives. Conçue pour recueillir, quelle que soit leur date, des documents de toute nature et de toute provenance, la sous-série 1J est évidemment très hétéroclite : des terriers y voisinent avec des livrets d'ouvriers, un prospectus de vente avec des images de communion solennelle. Bien que qualifiée d"extraordinaire", la procédure d'entrée des fonds privés est heureusement beaucoup plus fréquente que ce qualificatif pourrait le laisser supposer. Nombreux sont les particuliers, associations, entreprises ... qui confient chaque année leurs papiers aux Archives, dans le souci d'assurer les meilleures conservation et diffusion possibles à ce qui constitue le patrimoine de tous.
Les documents sont généralement accessibles immédiatement, sauf conditions particulières d'accès mentionnées (délai de respect de la vie privée, notamment).
Langue des unités documentaires
Cote/Cotes extrêmes
Date
Origine
Modalités d'entrées
Achat aux enchères à l'hôtel des ventes Orléans Madeleine des lots 476 et 477 (24 novembre 2023).
Conditions d'accès
Communicable
Mots clés lieux
Mots clés matières
Cote/Cotes extrêmes
Date
Description physique
Présentation du contenu
Ladite Françoise, femme de Pierre Bigonneau, elle-même fille de Jehan Chaales et Ginete, cette dernière fille d'Estienne [lacune] et de Meline, elle-même fille de Gillet Cousin, tous descendants de la lignée dudit Eudes Le Maire de Chalo-Saint-Mars.
Lesdites lettres d'affranchissement furent données au palais d'Etampes [Stampis, in palacio] par le roi Philippe Ier, en présence des abbés de Saint-Magloire, Saint-Victor et Sainte-Geneviève de Paris (mars 1084), puis vidimées et confirmées par les rois Philippe VI (décembre 1336), Jean II (novembre 1350) passées à Castrum [Chastres ? = Arpajon], Charles V (avril 1367), Charles VI (août 1394), Charles VII (1436 et janvier 1461), Louis XI (octobre 1483) et Charles VIII (décembre 1483).
Ledit acte scellé du grand sceau de majesté de cire verte et las de soie (disparu), le 25 décembre 1485. Témoins : Jehan Demercenson, Robin Burset, Arnoul Beste, Noellet et Jehan Delafosse, Guillaume Moireau, Pierre Potin, Andry Fourque, Jehan Brongnart et Guillaume Tube.
Langue des unités documentaires
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