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ETAMPES - Etude de Maître LATOURNERIE
Organisme responsable de l'accès intellectuel
Archives départementales de l'Essonne
ETAMPES II (service versant)
Répertoires : 2E48/1-14. Cotes inexistantes : 2E48/15-20.
Langue des unités documentaires
Autre instrument de recherche
Autres données descriptives
cotes inexistantes : 15-20, 29, 33.
ETAMPES. - Ferdinand Eugène Beslay : minutes (Août - Décembre 1850).
BESLAY Ferdinand Eugène (service producteur)
ETAMPES II (service versant)
au bout de 75 ans à partir de 1850
Langue des unités documentaires
N° 61 - Vente d'un fonds de commerce de boulangerie à Etampes, rue du faubourg Saint-Martin, faite par Jules-Narcisse Charpentier, meunier demeurant à Etampes, rue Badran, faubourg Saint-Martin, Adrien Cocardas, marchand-meunier demeurant à Etampes, rue de La Tannerie, Pierre-Félix Vramart, marchand-boulanger demeurant à Etampes, faubourg Saint-Martin et Alexandrine-Joséphine Patin sa femme, Narcisse-Marat Chanon, menuisier demeurant à Etampes, faubourg Saint-Martin, Louis-Henri Chedeville, marchand de bois demeurant à Etampes, Auguste-Edouard Gresland, meunier demeurant à Etampes, Edmond-Eugène Trouvé, meunier demeurant à Etampes au moulin à Tan, Alphonse-Joseph Alboy, meunier demeurant à Etampes, Jules-Félix Lepais, ci-devant meunier au moulin de Vaujouan près d'Etampes, Alexandre Auclaire, propriétaire demeurant à Paris, rue de Viarmes, Julienne-Catherine Barellier, demeurant à Etampes, faubourg Saint-Martin, veuve de Louis-Germain Riquois, Sophie-Emélie Deshuissart, marchande-mercière et veuve de Louis-Irénée Brossard, meunier, à, François-Barnabé Houssu, cultivateur, Marie-Rose-Catherine Lasnier sa femme et François-Philidore Houssu, garçon boulanger, tous trois demeurant au Plessis, commune d'Authon-la-Plaine, comprenant le fonds de commerce et le mobilier constitué du fournil, pétrins, étouffoir en tôle, brosses à pain, poids, boite à sel, sébiles à levain, bassin en cuivre, brancard à fléau, plateaux et autres outils du métier, une voiture à hotte à pain et un cheval à poil bais-brun, le tout moyennant la somme de 3000 francs (26 novembre 1850).