• Dont :Année 1779 : Quittance du mémoire des ouvrages de maçonnerie et couverture exécutés aux moulins de Robinson, à CORBEIL, provenant de la succession de M. DOLIMIER et loué à M. DORIVAL, fermier et meunier y demeurant, faite par Etienne DESSEIGNE, maçon demeurant à ESSONNES (14 février 1779) ;

• Quittance du mémoire d'ouvrages de charpenterie exécutés au moulin de Robinson, à CORBEIL (14 février 1779) ;

• Quittance du mémoire d'ouvrages de serrurerie exécutés au moulin de Robinson, à CORBEIL, faite à la demande du sieur DORIVAL, meunier et fermier du dit moulin (14 février 1779) ;

• Vente sur saisie d'une maison bourgeoise avec jardin et dépendances au COUDRAY (LE COUDRAY-MONTCEAUX), avec 13 arpents de terre labourable, bois taillis et vigne, au dit COUDRAY, SAINT-FARGEAU, TILLY et MAISON-ROUGE (Seine-et-Marne), faite par Joseph LESIEUR, premier sous-jagennier de la généralité de PARIS, demeurant à MELUN (Seine-et-Marne), paroisse Saint-Ambroise, de présent à l'hôtel des Grands Carnaux, rue et paroisse Notre-Dame de CORBEIL, fondé de procuration de François PISSAULT, ci-devant aubergiste demeurant au dit COUDRAY, veuf de Marie-Anne LELIEVRE (18 février-3 septembre 1779) ;

• Déclaration de censive faite à Léonard de SAHUGUET D'ESPAGNAC, conseiller de Grand Chambre, prieur et seigneur d'ESSONNES et d'OURDY-EN-BRIE (Seine-et-Marne), demeurant à PARIS, quai des Théatins, par Nicolas LE BRETON, prêtre-chanoine de l'église royale et collégiale Saint-Spire de CORBEIL, y demeurant cloître Saint-Spire, pour 0,5 quartier de jardin à CORBEIL, porte Saint-Nicolas, tenant à la rivière d'Etampes (1er mai 1779) ;
• Vente de 120 livres de rente annuelle et perpétuelle faite par Pierre-François BRAULT, marchand et directeur de la Poste aux Lettres de CORBEIL, y demeurant, et par Catherine AUDENET sa femme, à, Jean-Laurent LEDUC, ancien maître de Poste d'ESSONNES, écuyer, seigneur de Vaux-les-Essonnes, demeurant à ESSONNES, moyennant la somme de 2.400 livres (8 mai 1779) ;

• Bail de maison, dépendances et jardin au Moulin Galand, rue des Copeaux, paroisse d'ESSONNES, le tout clos de fossés en eau vive, tenant à l'hôtel-Dieu de CORBEIL, fait par Charles-François CHAMETTON, receveur des Aides demeurant à ESSONNES, à, Jean FOURNIER, vigneron demeurant au dit Moulin Galand (4 juin 1779) ;

• Vente d'un quartier de terrain au PERRAY (SAINT-PIERRE-DU-PERRAY), attenant les fours à chaux et les trous de carrières du dit PERRAY, près la Montagne de Melun, faite par Charles de Longchamps, ancien marchand-brasseur demeurant à PARIS, rue Mouffetard, paroisse Saint-Médard, de présent en sa maison bourgeoise de Chantemerle, paroisse d'ESSONNES, à, Jean GORSAT, notaire royal, procureur et premier échevin de la ville de CORBEIL, y demeurant faubourg et paroisse Saint-Léonard (9 juin 1779) ;

• Mémoire des travaux de reconstruction de la cheminée de l'auberge de l'Epée Royale à ESSONNES, fait par Pierre-François BEURE, entrepreneur de bâtiment demeurant à CORBEIL, à la demande du sieur DUCLERC, aubergiste et perruquier (16 juin 1779) ;

• Désistement contenant obligation et cautionnement fait par Jean PERIL, chanoine de Saint-Spire de CORBEIL, y demeurant au cloître Saint-Spire, procureur du chapitre des chanoines du dit Saint-Spire, contre, Philippe-Christophe DELAPLACE et Margueritte CHEVALET sa femme, aubergistes demeurant à CORBEIL (20 juin 1779) ;

• Bail de maison et boutique à SAINT-VRAIN, devant l'église, fait par Pierre-François BRAULT, marchand et directeur de la Poste de CORBEIL, y demeurant rue et paroisse Notre-Dame, et Catherine AUDINET sa femme, à, Nicolas-Laurent MOLLARD, maréchal, et Marie-Jeanne LA RUE sa femme, demeurant à VERT-LE-GRAND (15 juillet 1779) ;

• Résiliation de bail de maison à CORBEIL, faite par Pierre-François BRAULT, marchand et directeur de la Poste aux Lettres de CORBEIL, y demeurant rue et paroisse Notre-Dame, à, Jacques ROBLOT, marchand-boulanger et Elizabeth-Françoise CA(MUSOT) sa femme, demeurant à CORBEIL, place Saint-Guénault, paroisse Notre-Dame (5 août 1779) ;

• Procuration donnée par l'assemblée des habitants de LISSES représentée par Jean-Baptiste-René SOLVIEN, prêtre-curé de la paroisse de LISSES, François MARTIN, maréchal et marguillier, Jacques BUNOT, vigneron et marguillier des Trépassés, Jean-Pierre REGNAULT, receveur des Pauvres, Nicolas FLEURY, vigneron et administrateur des Pauvres, (Louis)-Charles RABOURDIN, fermier aux Places, paroisse de LISSES, Henry-François et Paul COCHARD, laboureur, Jean-Baptiste-Grégoire CHARON, Jacques LAUçON, vigneron et Louis HEZAN, vigneron, tous anciens marguilliers et paroissiens demeurant à LISSES, à, Jean-Baptiste et Jean-François CHAPPOLIN, père et fils, bourgeois de PARIS, pour recevoir les payeurs des Rentes de l'Hôtel de Ville de PARIS (8 août 1779) ;

• Bail de maison et pressoir à CORBEIL, rue du Four du Puits ou du Charbon Blanc, tenant par derrière à l'auberge du Mouton, fait par Nicolas LE BRETON, prêtre-chanoine de l'église royale et collégiale Saint-Spire de CORBEIL, y demeurant cloître Saint-Spire, à, Jérosme PERROND, charpentier et cabaretier demeurant à CORBEIL, et Nicole DUBOIS sa femme (18 août 1779) ;

• Bail d'une maison bourgeoise avec jardin d'un arpent clos de murs, aux Grandes Bordes, paroisse d'ESSONNES, Grande Rue Vieille, fait par Charles-Jacques LEFEVRE, ci-devant maître-doreur à PARIS et actuellement officier invalide à la maison, à PARIS y demeurant, en détachement à l'Arsenal, à, Louis DUMOUCHEL, officier, grand juré de l'Université de Paris, seigneur des PREZ, demeurant à PARIS, rue des Roziers, paroisse Saint-Gervais (2 octobre 1779) ;

• Inventaire après-décès de Marie-Margueritte JARDIN, demeurant à LISSES, rue des Trous, fait à la requête de son époux Jean-Baptiste LEMOINE, tuteur de leur fils Jean-Baptiste-Thomas LEMOINE (25 octobre 1779) ;

• Main-levée fait par Thomas BARRE, conseiller du roi, substitut du substitut de M. le procureur général, demeurant à CORBEIL, fondé de procuration de Léonard de SAHUGUET d'ESPAGNAC, conseiller de Grand Chambre du parlement de PARIS, prieur et seigneur d'ESSONNES, demeurant à PARIS, quai des Théatins, d'une somme reçue par Philippe-Christophe DELAPLACE et d'Antoine DUCLER son locataire (26 novembre 1779) ;

• Bail de maison à CORBEIL, rue Notre-Dame, fait par Pierre-François BRAULT, directeur de la Poste de CORBEIL, y demeurant, et Catherine AUDENET sa femme, à, Louis GODEBERT, marchand demeurant à CORBEIL, et Jeanne-Cécille MOSNIER sa femme (1er décembre 1779) ; 

• Acte de notoriété établi suite au décès de Mathieu CHAPPE, marinier demeurant à CORBEIL, par Georges LALOGE, compagnon-maçon demeurant au Vieil-Marché, paroisse de Perray (SAINT-PIERRE-DU-PERRAY, et Germain FOUCHER, vigneron demeurant au dit PERRAY, fait à la réquisition de Georges GRENET, marinier demeurant à CORBEIL, et de Marie-Jeanne CHAPPE sa femme, fille du dit défunt (11 décembre 1779).

• Année 1780 : 
• Bail de maison et jardin au Moulin Galant, paroisse d'ESSONNES, fait par Nicolas SALLET, vigneron demeurant au Vieil-marché, paroisse de Perray (SAINT-PIERRE-DU-PERRAY), à, Pierre DOIRA, maçon demeurant au dit Moulin Galant, et Marie-Louise VIELLEMAIRE sa femme (23 janvier 1780) ; 

• Quittance des ouvrages de charpente faits aux vannes des moulins de Robinson, à CORBEIL, faite par Antoine LAPREZ, maître-charpentier demeurant à ESSONNES, à, M. DORIVAL, fermier et meunier des dits moulins (24 janvier 1780) ; 

• Quittance des ouvrages faits à la porte cochère des moulins de Robinson, à CORBEIL, faite par Noël-Nicolas RICHER, maître-serrurier demeurant à ESSONNES, à, M. DORIVAL, fermier des dits moulins (25 janvier 1780) ;

• Transport de somme mobiliaire fait par Jacques-Firmin COURTIN, imprimeur de la manufacture de toile peinte des Bordes, paroisse d'ESSONNES (CORBEIL-ESSONNES), y demeurant, à, Blaise BRESSON, marchand-boulanger demeurant au dit ESSONNES, relatif à une somme de 128 livres 14 sols due au dit COURTIN par Marie-Louise de LA PLACE veuve de Louis-Firmin COURTIN, sa mère, demeurant aux dites Bordes (21 février 1780) ;

• Vente de 19 perches de terre à ESSONNES (CORBEIL-ESSONNES), lieu-dit les Tarterets, faite par Guillaume-Laurent LE DUC, ancien secrétaire de la Guerre, maître de la Poste d'ESSONNES, y demeurant, et Marie-Françoise LE DUC veuve de Pierre-François BERTIN, écuyer, chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis, ancien capitaine de Cuirassiers, demeurant à PARIS, rue de Richelieu, paroisse Saint-Eustache, à, Augustin LAJOYE, maître-foulonnier des moulins à foulon des Gobelins, paroisse d'ESSONNES, y demeurant (1er mars 1780) ;

• Procuration donnée par Jean LE GRAS, cordonnier demeurant à MORSANG-SUR-ORGE et Marie-Magdelaine BLONDEL sa femme, Pierre BLONDEL, cordonnier demeurant à EVRY et Marie-Françoise BLONDEL sa femme, tous héritiers de défunt Pierre BLONDEL leur père et Antoinette BLONDEL veuve d'André ORILLON, décédé à HEUFFECOUR près d'AMIENS (Somme), pour recueillir la succession de la dite Antoinette BLONDEL, à, (lacune) (10 avril 1780) ;

• Quittance faite par Augustin-Louis TOURET, garde-chasse demeurant à SENART, paroisse d'ETIOLLES, avec le consentement de son curateur Gervais MERCIER, maçon demeurant à SOISY-SUR-SEINE, d'Antoine MENAGER, ancien procureur fiscal de la prévôté du dit SOISY, y demeurant et de Marie-Magdelaine DESCHAMPS sa femme, reconnaissant avoir reçu de Magdelaine-Henriette BELHOMME veuve d'Augustin TOURET, garde-chasse des Plaisirs du roi, décédé au dit SENART et veuf en premières noces de Marie-Magdelaine RUELLE, la somme de 1.400 livres (20 avril 1780) ;

• Testament de Charles-Louis COUSIN, prêtre-chanoine de l'église Saint-Spire de CORBEIL, licencié en théologie de la Faculté de PARIS, ci-devant curé du Perray (SAINT-PIERRE-DU-PERRAY) et de Saint-Léonard de CORBEIL, demeurant cloître du dit Saint-Spire, déposé à la requête de Nicolas LE BRETON, prêtre, bachelier en théologie, licencié en droit civil et canonique, chanoine de l'église royale et collégiale Saint-Spire de CORBEIL, curé de Saint-Martin de CORBEIL, demeurant au dit cloître Saint-Spire (15 mai 1780) ;

• Inventaire après-décès d'Etienne HOUVE, vigneron devenu portier de la porte du parc de Mouceaux, paroisse d'EVRY, fait à la requête de sa veuve Madelaine-Françoise DARCOURT au service de Jean SAGRET, jardinier, veuve en premières noces de Charles LION, soldat au régiment de Navarre (18 mai 1780) ;

• Reconduction du bail de 6 quartiers de luzerne à ESSONNES (CORBEIL-ESSONNES), lieu-dit les Bouchers, fait par Marie BAUGY, veuve de Jean AUBRY, cavalier de maréchaussée à CORBEIL, y demeurant, à, Claude VILLEMAIRE, aubergiste demeurant audit ESSONNES (20 mai 1780) ;

• Déclaration de censive faite par Nicolas LE BRETON, prêtre-chanoine de l'église royale et collégiale Saint-Spire de CORBEIL, y demeurant cloître dudit Saint-Spire, pour un jardin en arbres fruitiers à CORBEIL, à l'emplacement de la maison des Quatre Chapelains, rue du Trou Patry, tenant sur les remparts de la ville, et duquel partait anciennement une gargouille conduisant les eaux du Trou Patry aux fossés de la ville, remplacée par un aqueduc construit dans le milieu de la rue dudit Trou Patry au chapitre canonial de ladite église Saint-Spire (24 mai 1780).

au bout de 75 ans à partir de 1780

08/08/2001