Tout afficher 69 medias répartis dans 2 lots
Cote/Cotes extrêmes
Date
Organisme responsable de l'accès intellectuel
Description physique
Particularité du document
Origine
Modalités d'entrées
Prêt
Présentation du contenu
Dans le cadre de la Grande Collecte lancée en 2013 autour du centenaire de la Première Guerre mondiale, des personnes ont prêté aux Archives départementales de l'Essonne des documents uniques, intimes et précieux de leur ancêtre mobilisé, afin de partager et d'enrichir la mémoire collective.
Plaques de verre stéréoscopiques, photographies, cartes postales, carnets de dessins, carnets intimes de poilus, carnets de captivité, carnets de chansons, journaux, documents administratifs, livrets militaire, citations, médailles et objets de tranchées ainsi que des correspondances composent les documents prêtés. Tous ont été numérisés par Yves Morelle et Lisbeth Porcher, photographes aux Archives). La sous-série 32NUM est classée par prêteurs.
Accroissements
Série ouverte
Mode de classement
Classement par prêteurs.
Plan de classement :
32NUM1 : Fonds CHAMBLAIN (75 documents)
32NUM2 : Fonds CHARDON
32NUM3 : Fonds JACQUET (53 documents)
32NUM4 : Fonds NANTY
32NUM5 : Fonds LE PAUMIER
32NUM6 : Fonds ROZE-PORCHER
32NUM7 : Fonds POUPINEL
32NUM8 : Fonds GRAIS
32NUM9 : Fonds CARON
32NUM10 : Fonds BERTRAND
32NUM11 : Fonds PREVOT
32NUM12 : Fonds LEDEY
32NUM13 : Fonds GUIRAUD
32NUM14 : Fonds STOUVENEL
32NUM15 : Fonds SIVET (165 documents)
32NUM16 : Fonds GUCCIA-LEVET
32NUM17 : Fonds de M. CATHERIN
32NUM18 : Fonds NION
32NUM19 : Fonds BETRANCOURT (157 documents)
32NUM21 : Fonds RAYE
32NUM22 : Fonds VIRGOLINO
32NUM23 : Fonds LEFORT
32NUM24 : Fonds PERTHUIS
32NUM25 : Fonds CHARMILLON et GUILLEMINOT
32NUM26 : Fonds DELEPINE
32NUM28 : Fonds CANTELOUBE
32NUM29 : Fonds MICHAUD
32NUM36 : Fonds GACHOT
32NUM37 : Fonds TESSIER
32NUM38 : Fonds GORVEL
32NUM40 : Fonds AUBERGE_DE_LA_GARENNE
32NUM41 : Fonds MORCHOISNE
32NUM42 : Fonds PEYRONNET
32NUM43 : Fonds PERROT
32NUM44 : Fonds BRIAND (soldat concerné Marcel ROGER) (97 documents)
32NUM45 : Fonds LEVET
32NUM46 : Fonds PANNETIER
32NUM47 : Fonds LETELLIER
32NUM48 : Fonds MARCON
32NUM49 : Fonds CHARTON
32NUM50 : Fonds LABANSAT
32NUM51 : Fonds JAMBON
32NUM53 : Fonds GUILLEMIN
32NUM54 : Fonds BOURGERON
32NUM55 : Fonds PEZOT
32NUM56 : Fonds RAMEAU
32NUM57 : Fonds FLAMANT
Conditions d'accès
Communicable
Conditions d'utilisation
Tous les prêteurs ont rédigé un contrat de cession à titre gracieux des droits d'auteur.
Pour les Archives de l'Essonne : - droit de reproduire les images et documents afin d'illustrer les expositions, les publications et les dossiers pédagogiques.- droit de diffuser une sélection d'images sur le site internet www.centenaire1914-1917.essonne.fr et de mettre gratuitement à disposition du public la consultation d'images.
Pour les particuliers désireux d'obtenir des reproductions : l'autorisation des prêteurs est obligatoire.
Langue des unités documentaires
Informations sur le traitement
Documents numérisés depuis 2013, par Yves Morelle et Lisbeth Porcher, photographes aux Archives départementales de l'Essonne. Analyse et saisie par Lisbeth Porcher.
Mots clés matières
Mots clés typologiques
Cote/Cotes extrêmes
Date
Description physique
Origine
Histoire de la conservation
Dans le cadre de la grande collecte de 2013 organisée autour de la commémoration du centenaire de la Première Guerre mondiale, Madame BETRANCOURT prête aux Archives départementales de l'Essonne des documents de la famille LARCHER. Trois membres sont ainsi concernés. Il y a tout d'abord André LARCHER, soldat musicien, puis Marcel LARCHER, soldat dans les autos-canons, et enfin Madame veuve Alphonsine LARCHER, mère d'André et Marcel qui fut marraine de guerre.
Modalités d'entrées
Prêt
Présentation du contenu
Le fonds se compose de photographies (épreuves papier, seules ou dans des albums), de cartes postales photographiques, de cartes postales, de documents (livret militaire, cartes de combattant, échéancier de retraite), d'objets (appareil photo, mascotte, médailles militaire) et de correspondances.
Mode de classement
Le fonds est classé par personnes et thématique.
Plan de classement
1 Soldat André Larcher : Photographies ; Documents (livret militaire, carte de combattant, partition musicale, programme de concert).
2 Soldat Marcel Larcher :
- Photographies,
- Albums photographiques :
Album 1 : Meurthe-et-Moselle
Album 2 : Belgique et Somme
- Documents (cartes de combattant, livret de renouvellement de pension, échéancier de retraite de combattant)
- Carnet (DCA de la VIIIe armée).
3 Mme Alphonsine Larcher : Correspondances adressées à mme Larcher par des soldats en remerciements de ses dons faits aux soldats.
4 Cartes postales : Drapeaux, armistice, défilé du 14 juillet 1919, scènes de combats, de militaires en action, collages et dessins.
5 Objets : Médailles militaire, appareil photographique, maquette d'avion, peluche.
Conditions d'accès
Communicable
Conditions d'utilisation
Voir Contrat de cession à titre gracieux des droits d'auteurs, n° 19 de novembre 2013.
Langue des unités documentaires
Existence et lieu de conservation des originaux
Les documents originaux sont conservés par Madame BETRANCOURT (filleule de Monsieur Marcel LARCHER) à Saint-Michel-sur-Orge.
Informations sur le traitement
Numérisation faite en 2013 par Lisbeth Porcher, photographe aux Archives départementales de l'Essonne. Saisie faite en 2017 par Lisbeth Porcher.
Cote/Cotes extrêmes
Date
Description physique
Biographie ou Histoire
Historique du soldat Marcel Georges Paul Larcher :
(D'après renseignements pris sur registre matricule 1R3433 conservé aux Archives départementales de Seine-Maritime)
Etat civil
Né le 8 juin 1897 à Rouen
Fils de feu Paul Eugène Larcher et de Marie Alphonsine Rabardy
Demeurant au 8 rue Bouquet à Rouen
Profession : étudiant (lycée)
Classe 1917, n° matricule au recrutement 1661, degré d'instruction 3 (instruction primaire plus développée).
Durée des obligations militaires
- Armée d'active jusqu'au 22 mars 1919 : 83e régiment d'artillerie lourde et 62e régiment d'artillerie de campagne.
- Disponibilité et réserve de l'armée d'active jusqu'au 28 mai 1923 : 63e régiment d'artillerie de campagne, 66e régiment d'artillerie DCA, 2e armée et 1er régiment de DCA.
- Armée territoriale et sa réserve jusqu'au 19 janvier 1938.
Détail des services
Incorporé à compter du 10 janvier 1916, soldat canonnier conducteur de 2e classe. Passé au 62e régiment d'artillerie de campagne (44e section de 75) le 24 octobre 1916.
Certificat de bonne conduite accordé
Campagnes contre l'Allemagne : du 10 janvier 1916 au 26 septembre 1919.
Aux armées du Nord et Nord-Est, du 26 novembre 1916 au 26 septembre 1918.
Passé au 63e régiment d'artillerie de campagne du 19 septembre 1917.
Passé au 66e régiment d'artillerie DCA le 1er octobre 1918.
Classé service auxiliaire et proposé pour pension temporaire d'invalidité 10° par décision de la commission de la seine du 27 janvier 1920 pour dureté de l'oreille droite, tympan déprimé, bourdonnements, rhinites et rhinos-pharyngtites chroniques.
Mis en congé de démobilisation de 27 septembre 1919
Maintenu au service auxiliaire avec pension définitive de 10% par la commission de réforme de Rouen au 30 août 1923 pour surdité mono-latérale incomplète à droite.
Affecté au centre mobilisateur artillerie DCA le 15 septembre 1935.
Rappelé à l'activité le 28 septembre 1938, affecté au C M Artillerie 23 et renvoyé dans ses foyers le 7 octobre 1938.
Démobilisé par le centre de Lalbenque, le 3 septembre 1940.
Se retire à Rouen, rue Bouquet.
Présentation du contenu
- Photographies, albums photographiques, cartes de combattant, livret de renouvellement de pension, échéancier de retraite de combattant, carnet de silhouettes d'avions français, alliés et allemands composent l'ensemble des documents de Marcel Larcher .
Mode de classement
Classement thématique
Marcel LARCHER
Plan de classement :
- Photographies de Marcel LARCHER, militaire du 83e régiment d'artillerie
- 2 Albums photographiques (constitués par Marcel lorsqu'il est incorporé à la 44e section d'auto-canon. Muni de son appareil photo Kodak Pocket, il réalise un véritable reportage sur ses déplacements et manoeuvres) :
Album 1 : Meurthe-et-Moselle
Album 2 : Belgique et Somme
- Documents (cartes de combattant, livret de renouvellement de pension, échéancier de retraite de combattant)
- Carnet (DCA de la VIIIe armée) : Silhouettes d'avions français, alliés et allemands.
Conditions d'accès
Communicable
Conditions d'utilisation
Contrat de cession de droit d'auteur à titre gracieux, n° 19 du 13 novembre 2013
Langue des unités documentaires
Informations sur le traitement
Numérisation faite en 2013 par Lisbeth Porcher, photographe aux Archives départementales de l'Essonne. Saisie en 2017 par Lisbeth Porcher.
Mots clés matières
Cote/Cotes extrêmes
Date
Description physique
Origine
Biographie ou Histoire
Muni de son appareil Kodak West Pocket,Marcel LARCHER réalise un véritable reportage photographique, de ses déplacements, constituant un témoignage précieux sur les manœuvres et le matériel de défense, entre autre l'auto-canon de 75 mm.
Modalités d'entrées
Prêt
Présentation du contenu
Album 1 : [v.1917-1918], (032NUM019/022-063)
Composé d'une carte de la Meurthe-et-Moselle où certains lieux comme Bois le Prêtre à Pont-à-Mousson, Manoncourt-sur-Seillé, Lixières, Landremont, Jeandelaincourt, Morey, Bratte, Essey-les-Nancy sont épinglés, puis de quatre images par page avec annotations de lieux et commentaires du photographe.
Les vues représentent des batteries de canons (37,120), des postes de DCA, de route camouflée, mitrailleuse contre avions, des abris, des avions de chasse SPAD, des appareils de pointage.
Album 2 : 1918, (023NUM019/064-083).
Trois cartes y sont collées :
- la première carte représente une partie de la Belgique (vers Ypres), la seconde de la Somme (Amiens-Bohain-Montdidier) et la troisième (Wassigny-Hirson-Vervins). Un trait de couleur souligne les trajets effectués par Marcel Larcher et ses compagnons de troupe lors des divers déplacements et positionnements de l'armée face à l'ennemi. Pour la première carte le trajet est le suivant : De Cassel à Locre en passant par Steenvoorde, Poperinghe, Reninghevers, Westoutre.
- Trajet de la seconde carte : Boves, Ailly, à Chaussoy-Epagny, Sourdon, Hargicourt, Davenescourt, Beaucourt-en-Santerre, Fonche, Omiécourt.
- Trajet de la troisième carte : Grougis, Isonville, La Neuville-les-Dorengt, Fontenelle et Rocquigny.
Les vues représentent l'instruction de l'armée américaine à Langres, des prisonniers allemands, des positionnements de batteries de canons, tombes, tanks, des tranchées. Marcel Larcher y est souvent représenté.
- Marcel Larcher posant devant une auto canon, seul ou avec un camarade, photographie, [1917-1918], (023NUM019/84-86).
- Peluche mascotte posé sur auto canon, photographie, [1917-1918], (023NUM019/87).
- Marcel Larcher en capote militaire et un chien, photographie, [1917-1918], (023NUM019/88).
- Brancardiers transportant un blessé, au Bois de Caillette 5Verdun), photographie, non daté, [1917-1918], (023NUM019/89).
- Brancardiers transportant un blessé, photographie, non daté, [1917-1918], (023NUM019/90).
Conditions d'accès
Communicable
Conditions d'utilisation
Contrat de cession de droit d'auteur à titre gracieux, n° 19 du 13 novembre 2013
Langue des unités documentaires
Autres données descriptives
Notes sur les autos-canons :
Les expérimentations de l'auto-canon de 75 mm et de son auto-caisson commencent en octobre 1910 au camp de Chalons, puis, ils seront fabriqués par les Ateliers de Puteaux à partir de 1913. En avril 1915, il y a 11 sections d'auto-canons, en mai 1915 : 56 autos-canons, et début 1918, 199 auto-canons.
L'auto-canon transporte 4 hommes, l'auto-caisson 6 hommes et 2 hommes prennent place dans la voiture légère de l'officier commandant. En principe les sections d'autos-canons sont employées en première ligne, du fait leur mobilité.
Le 1 août 1916, toutes les unités auto-canons (comme les postes demi-fixes) sont rattachées au 62ème RA. Plus tard, dans le cadre de la réorganisation des unités de DCA des Armées : les unités mobiles, dont celles d'auto-canons passent sous le commandement du 66 RA.
Les sections sont à 2 pièces et il y aura des batteries à 3 pièces rapidement abandonnées et qui se transformeront en 1918 en groupements de 3 sections à deux pièces.
En principe les sections d'autos-canons sont employées en première ligne, du fait leur mobilité qui leur permet de se déplacer si elles sont repérées.
Chaque section possède deux ou trois positions occupées de jour alternativement. La nuit la section revient au niveau de l'échelon. La distance parcourue chaque jour ne doit pas excéder quelques kilomètres sous peine d'usure prématurée du matériel.
Les pièces sont espacées d'environ 4 km
Tous types d'obus confondus, l'auto-canon a tiré, durant la 1ère guerre mondiale, 5 965 obus pour abattre un avion, alors que les plates-formes de 75 mm ont tirées 10 730 coups.
Informations sur le traitement
Numérisation faite en 2013 par Lisbeth Porcher, photographe aux Archives départementales de l'Essonne. Saisie en 2017 par Lisbeth Porcher.
Mots clés lieux
Mots clés matières
Mots clés typologiques
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