Cote/Cotes extrêmes
Date
Organisme responsable de l'accès intellectuel
Description physique
Origine
Modalités d'entrées
Don
Ce fonds retraçant l'histoire de la famille PONCETTON a été donné aux Archives départementales de l'Essonne par le musée de Dourdan en 1980.
Mode de classement
Le classement comporte trois grandes parties : François Poncetton, la famille de François Poncetton, documents.
Conditions d'accès
Communicable sans condition particulière
Langue des unités documentaires
Notes
Répertoire numérique détaillé établi par Lisbeth Porcher, 2000.
La correspondance, couvrant la période de 1561 à 1962, est essentiellement familiale, amicale et professionnelle. Cependant des titres de famille, papiers d'affaires, factures, manuscrits, catalogues d'insectes ou objets d'art, journaux, puis photographies, en passant par des documents plus hétéroclites comme des bandeaux de journaux, billets de loterie ou tickets d'alimentation, l'enrichissent pour le bonheur du chercheur.
François PONCETTON est né à Saint-Etienne, le 25 juin 1877. Issu d'une famille bourgeoise, originaire du Forez, il est le 3e et dernier fils de Jean-Louis Auguste PONCETTON, avocat et bâtonnier de l'Ordre. Il fait ses études au lycée de Saint-Etienne puis sa médecine à Paris ; mais, préférant l'écriture, il entre au Figaro et en devient le chef des échos de 1910 à 1922. Il collabore également à plusieurs journaux comme l'Eclair,la Liberté, le journal des Débats, l'Opinion où il est tour à tour critique militaire, littéraire, artistique ou scientifique. Parfois, il écrit sous les pseudonymes de Graindorge ou Testis. Il publie de nombreux ouvrages, romans, essais, biographies et feuilletons comme " Les 13 filles de Mademoiselle d'Oche (1921) ", les Fantômes d'Ardentes, les gardes de Sabre japonaises (1924), les Arts sauvages, Eiffel (1939), le Courrier d'Epidance, le Secret du crâne et bien d'autres. Jeanne Beaudichon qu'il aime énormément devient son épouse le 24 avril 1915.
Durant la première guerre mondiale, il est mobilisé comme médecin à Rennes.
C'est à Dourdan dans l'Essonne, qu'il achète en 1929 une propriété où il rassemble ses poteries et oeuvres d'art, ainsi que sa collection de coléoptères. Lors de la seconde guerre, il est obligé d'ouvrir un cabinet médical. En 1941, sa maison est réquisitionnée par la Kommandatur puis, à la fin de la guerre, pillée et saccagée par les Allemands. François et sa femme qui, jusqu'alors, vivait dans un certain luxe, demandent de l'aide.
Le 29 avril 1950, François PONCETTON s'éteint.
16J1/241- François PONCETTON - 16J/1-65 Correspondance passive - 16J/66-89 Comptabilité - 16J/90-154 Bibliographie. - 16J/155-201 Centres d'intérêts - 16J/202-206 Enseignement - 16J/207-212 - Armée - 16J/213-241- Documents
16J/242-427 - FAMILLES Poncetton, Beaudichon, Reymond, Clavel, Dupin : correspondance, comptabilité, documentation, papiers d'affaires et des titres de famille.
16J/428-458 DOCUMENTS Enseignement, médecine, patrimoine, autres
Cote/Cotes extrêmes
Date
Caractéristiques physiques
Origine
Présentation du contenu
Archives textuelles
Conditions d'accès
sans délais
Langue des unités documentaires
Informations sur le traitement
25/03/2002
Mots clés lieux
Mots clés matières
Mots clés typologiques
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